mercredi 30 mars 2011

L’EFS et Cycloville, une affaire qui roule


L’association entre l’Etablissement Français du Sang et Cycloville continue en 2011, la ville de Lorient a en effet accueilli des vélo-taxis destinés à la promotion du don du sang le 19 mars.
Lors de cet événement les donneurs étaient gratuitement conduits par les vélo-taxis Cycloville à la Chambre de Commerce et d’Industrie de Lorient. On a pu compter 129 donneurs présentés dont 27 % de nouveaux donneurs.

Le Télégramme a relayé l’information dans un article le 17 mars :

Article Télégramme

L’année 2010 avait déjà été marquée par des moments forts de collecte en collaboration avec Cycloville dans les villes de Saintes, La Rochelle, Lille, Rennes, Châlon sur Soane et Bordeaux. Lors de ces campagnes de collectes Cycloville et l’EFS ont permis de faire venir bon nombre de donneurs. Les vélo-taxis utilisés permettent d’avoir une visibilité de proximité idéale pour ce genre d’événements.

Voici le lien d’un article que nous avions déjà fait paraître sur ce même blog il y a peu : Ici.

N’hésitez pas à donner votre sang, pour cela rendez-vous dans un centre de collecte fixe ou mobile de l’EFS.

Pour plus de renseignements :

www.dondusang.net

www.cycloville.com

jeudi 17 mars 2011

Pollen : Un peu de nature pour petits et grands



Après les succès des films Home (Yann Arthus Bertrand - 2009) et Océan (Jacques Perrin – 2010), qui dévoilaient la nature dans toute sa diversité, les studios Disney Nature ont sorti, le 16 mars, le film « Pollen », dans la plupart des salles françaises. Ce film sur la pollinisation des fleurs par les insectes se veut plutôt éducatif. Grâce à des images à couper le souffle sur la beauté du monde qui nous entoure, ce film donne envie de le protéger.

Sur le site du film Pollen, on peut trouver :

- un cahier d’activité (calendrier, formes à découper, jeux…)

- un dossier pédagogique (des infos, des exercices…)

On trouve également un lien vers le site Ensemble on change tout de Disney, plutôt destiné aux enfants et sur lequel ils peuvent s’inscrire et s’engager à changer leurs mauvaises habitudes.

Vous aussi, pour un meilleur respect de l’environnement pensez aux transports non polluant en centre ville renseignez-vous sur : www.cycloville.com

mercredi 16 mars 2011

Le débat sur le nucléaire est relancé

Depuis longtemps la France utilise le nucléaire afin de couvrir une bonne partie de la consommation en électricité des français. Le parc nucléaire a aujourd’hui atteint 58 réacteurs répartis dans 19 centrales. La France est le numéro 2 du nucléaire dans le monde et permet de fournir 78 % de l’énergie électrique correspondant à 17 % de l’énergie globale française.

AREVA est l’entreprise chargée de la construction des réacteurs, EDF en est l’exploitant. Depuis de nombreuses années maintenant, la France exporte ses connaissances en matière d’énergie nucléaire : la Lybie, le Moyen-Orient, la Chine, la Suède, l’Inde en ont par exemple déjà profité.

Les questions de sécurité autour des centrales nucléaires ont toujours été au cœur des débats de société. Aujourd’hui avec les problèmes que rencontre le Japon pour sécuriser sa centrale de Fukushima, beaucoup craignent un 2ème Tchernobyl. Même si Mr Besson (ministre de l’économie) ne voit « pas une catastrophe nucléaire » au Japon et qu’il déclare que la catastrophe n’a « rien à voir avec Tchernobyl », les plus grandes précautions sont de mises.

A Fukushima, les réacteurs 1 et 3 ont vu leurs toits exploser, l’enceinte de confinement du réacteur 2 a également explosé. Il y a peu c’est le réacteur 4 qui a subi une déflagration vidant la piscine contenant les déchets nucléaires en refroidissement. Une opération de remplissage de cette piscine par hélicoptère est prévue dans les heures qui viennent. Dans les 4 cas, une surchauffe des réacteurs a été constatée. Sur l’échelle des événements nucléaires, les incidents survenus se placent pour l’instant au stade 6, quand Tchernobyl se classait au stade 7 (plus haut niveau). Des mesures sur le terrain ont été faites à 80 Km de la centrale de Fukushima, dans la préfecture de Miyagi, et ont révélé un niveau de radioactivité 400 fois supérieur à la normale. Le porte-parole du gouvernement japonais a déclaré que « les niveaux atteints peuvent affecter la santé des êtres humains ». 11 réacteurs sur les 50 que possède le Japon sont arrêtés en conséquence des catastrophes naturelles.

En France, c’est dans un climat de peur et d’attente que le débat du nucléaire a été relancé. Dimanche soir 300 personnes (associations militantes, anonymes et politiques) se réunissaient à Paris pour faire entendre leurs voies contre le nucléaire.

Malgré cela, le président Sarkozy a déclaré lundi 14 mars qu’il n’était « pas question de sortir du nucléaire ».

Pour vous déplacer en ville de façon écologique et économique pensez aux vélo-taxis Cycloville : www.cycloville.com

lundi 14 mars 2011

Séisme et tsunami au Japon

Le Japon, habitué aux catastrophes naturelles, a subi vendredi 11 mars un nouveau séisme, le plus puissant jamais mesuré dans le pays. De magnitude 8,9 sur l’échelle de Richter, il a été suivit d’un tsunami dont la vague a atteint 10 mètres à son plus haut niveau.

Dès le lendemain, plusieurs explosions ont eu lieu près des réacteurs 1 et 3 de la centrale de Fukushima. Le monde entier se tourne aujourd’hui vers le Japon, pour apporter l’aide nécessaire. Pour l’instant le bilan provisoire qui fait état de 688 morts, 642 disparus et 1570 blessés devrait s’alourdir dans les heures qui viennent. La ville côtière de Minamisanriku a complètement disparu tout comme ses 10 000 habitants. 5,6 millions de foyers sont encore privés d’électricité et 1,4 millions d’eau courante. Les habitants proches des centrales nucléaires devenues instables, ont été évacués afin de prévenir les risques d’une éventuelle explosion.

Le coût, des dégâts engendrés par le séisme, s’élèverait à 34,6 milliards de dollars selon une estimation d’AIR Worldwide (spécialiste en évaluation du risque). Ils restent tout de même prudents car beaucoup d’incertitude subsistent autour des paramètres de la catastrophe.

Plusieurs répliques se sont déjà fait sentir depuis la catastrophe. Une réplique sismique de magnitude 7 ou plus risque d’arriver (probabilité de 70%) pour mercredi matin. En attendant, les secours tentent de dégager le maximum d’habitants, l’espoir est encore permis pour nombre de personnes encore coincées sous les décombres.

Pour vous déplacer en ville n’hésitez pas à faire appel à Cycloville, plus de renseignements sur www.cycloville.com.

mardi 8 mars 2011

Une vidéo qui prend de la hauteur !


Lancer une caméra dans les airs pour prendre une vidéo de l’espace. Rien que cette idée semble un peu folle, quand on pense que le budget global de ce projet a été de moins de 400 €, ça l’est encore plus.

Deux étudiants britanniques, Alex Baker et Chris Rose, préparant des doctorats à l’université de Sheffield, ont mené à bien un projet de vidéo de l’espace.

La caméra et le capteur GPS, placés dans une boîte en polystyrène, étaient attachés à un ballon gonflé à l’hélium. Ce ballon est monté à 37 Km d’altitude, la caméra a tenu malgré des températures de - 30 à - 40°C.

Le capteur GPS a émis un signal une fois que la boîte a atterri à 160 Km du lieu de lancement.

En conclusion de ce beau projet une vidéo, qui pourra répondre à la plupart des questions des curieux :

www.youtube.com/watch?v=gfgOYsWnisk

L’espace appartient finalement à tout le monde et un petit budget peut permettre de grands projets. Pour avoir une vision différente des choses, il suffit parfois de prendre de la hauteur.

Pour plus de renseignements sur le déplacement urbain écologique : www.cycloville.com

lundi 7 mars 2011

Le fléau des frelons asiatiques



Ces insectes importés du continent asiatique accidentellement en 2004, se sont propagés de manière fulgurante dans le sud de la France.

Le département du Lot et Garonne particulièrement touché par l’invasion ces 6 dernières années, tente chaque année de lutter contre ces frelons, qui s’attaquent aux abeilles européennes.

La fête de Lubbon, ce 5 mars, a été l’occasion pour l’association « L’abeille Landaise » et le « Groupement de défense sanitaire apicole » de se réunir autour d’une assemblée générale visant à trouver des solutions pour protéger les abeilles contre les frelons asiatiques.

Le Frelon Asiatique également appelé Vespa Velutina, peut mesurer jusqu’à 30 mm. Il fixe son nid sur les arbres, parfois à 15 m de haut. Le nid peut mesurer jusqu’à 1 m de haut et 80 cm de diamètre. Les frelons attaquent les abeilles en se plaçant à la sortie de la ruche, ils les emportent ensuite pour nourrir les larves de la ruche. 10 frelons suffisent pour décimer une ruche d’abeilles.

Les apiculteurs sont inquiets et la plupart tentent de lutter contre cette invasion avec peu de moyens et peu de connaissances sur la question.

Pour l’instant, aucune mesure d’envergure ne pourra être prise, l’espèce est considérée comme « invasive et pas nuisible ». Cela signifie qu’elle se développe en France, en s’adaptant à ce nouvel environnement, mais qu’elle n’est pas encore considérée comme néfaste aux autres espèces et aux habitants français.

Régulièrement des colonies disparaissent, en 6 ans la population d’abeilles aurait baissé de 10 %. 2 personnes sont mortes l’année dernière en gironde en tentant de détruire des nids.

Déplacez-vous écologiquement en ville, ayez le réflexe Cycloville : www.cycloville.com

Les principaux syndicats de taxis du sud se réunissent à Marseille



À l’occasion des états généraux de la profession de taxi, les principaux syndicats de 5 départements (Bouche du Rhône, Var, Gard, Herault, Vaucluse) se réunissent aujourd’hui (4 mars) à Marseille. Le sujet principal de cette rencontre devrait être la nouvelle réglementation autorisant la location de voiture de tourisme avec chauffeur. Des manifestations à Avignon avaient déjà eu lieu contre la société Easy Take qui commercialise le service.

Il sera également question lors de ces rencontres du problème de la Gare Saint Charles de Marseille, en effet le maire PS de ce secteur, Patrick Mennucci s’était indigné de voir un « tri » des clients par les chauffeurs de taxi, en refusant les petites courses ou en les prolongeant indûment. Des mesures avaient été proposées par ce dernier, mais plus de 6 mois plus tard, rien n’a été mis en place.

Nous connaissons bien la pression que savent exercer les chauffeurs de taxis marseillais sur la concurrence, en protégeant leur profession. Il y a pourtant en ville de la place pour des services variés, bien souvent demandés par les marseillais eux-mêmes. Les petites courses refusées par certains chauffeurs de taxis s’adaptent au service de transport en vélo-taxis.

Si vous souhaitez plus de renseignements sur ce mode de transport urbain et écologique : www.cycloville.com

vendredi 4 mars 2011

Le Sud-Ouest touché par des pics de pollution


C’est dans les villes de Bordeaux, Agen, Dax, Cognac, Angoulême et Périgueux, que l'AIRAQ (association agréée pour la surveillance de la qualité de l’air en Aquitaine) a pu constater des pics de pollution anormalement élevés. La limite étant de 80 µg/m3, voici les mesures observées sur ces villes :

Bordeaux : de 81 à 97 µg/m3 selon les stations de mesures
Dax : 80 µg/m3
Périgueux : 98 µg/m3
Agen : 89 µg/m3
Angoulême : 83 µg/m3
Cognac : 86 µg/m3

Ces fortes densités de particules sont dues à plusieurs éléments :

  • La météo : le froid et le manque de vent favorisent la suspension des particules dans l’air
  • La pollution : due à une plus forte consommation de chauffage, à la production industrielle et bien sûr à l’activité automobile augmente la quantité de particules dans l’air

Aujourd’hui vendredi 4 mars, il est possible que s’ajoute à cette liste les villes de Bayonne, Pau et Lacq, qui se trouvent très proches du seuil limite. Les particules incriminées sont dangereuses, car elles entrent dans les voies respiratoires. Les personnes asthmatiques, cardiaques ou encore ayant des insuffisances respiratoires habitant les villes concernées sont à surveiller tout particulièrement, et doivent éviter les efforts physiques.

En attendant que de la pluie, du vent ou une remontée des températures permette de baisser cette densité de particules polluantes, l'AIRAQ conseille de privilégier toutes les formes de transports en commun, les vélos, la marche à pied... La pollution est l’affaire de tous, en se déplaçant de manière écologique, on limite la pollution de l’air en ville.

Cycloville propose une alternative judicieuse à la voiture en ville, permettant de réduire la pollution, les vélo-taxis (tricycle à moteur) roulent à la force des jambes du chauffeur et vous emmène partout en ville.

Pour plus de renseignements : www.cycloville.com

mardi 1 mars 2011

Vélo-taxi Cycloville : parole de chauffeur


Aujourd’hui, Corentin 25 ans nous parle de son métier de chauffeur de vélo-taxi chez Cycloville :

Depuis combien de temps est ce que tu travailles chez Cycloville en tant que chauffeur de vélo-taxi ?

J’ai commencé en novembre 2009, donc ça fait déjà 15 mois que je travaille comme chauffeur de vélo-taxis chez Cycloville. J’ai eu plusieurs statuts, D’abord auto-entrepreneur pendant 9 mois, je suis désormais salarié chez Cycloville, ça fait 6 mois.

As-tu une activité annexe à celle de chauffeur de vélo-taxi ? Étude ? Travail ?

Non aucune.

Qu’est ce qui t’as amené à travailler dans le monde du vélo-taxi ?

J’ai un projet de tour d’Europe en tandem alors, travailler chez Cycloville c’est un bon moyen de m’entraîner tous les jours en gagnant l’argent nécessaire pour partir. Je fais d’une pierre deux coups.

Garder une activité professionnelle tout en me préparant, c’était aussi important pour moi !

Qu’est ce qui t’attire dans ce monde ?

Le principe du vélo-taxi, le mode de transport écologique donc propre m’a attiré dès le début. Le fait d’être en contact permanent avec des gens, de pouvoir papoter avec eux, créer un lien, ça a fini de me convaincre, c’était fait pour moi !

Quels bénéfices tu en retires aujourd’hui ?

J’ai appris comment fonctionnent une PME et l’auto-entreprenariat que je n’avais jamais testé avant. Et puis j’ai fait de belles rencontres autant parmi mes clients que parmi mes collègues conducteurs de vélo-taxis. Enfin, j’ai gagné en sens de l’orientation.

As-tu une anecdote, un moment fort, à raconter, arrivé depuis que tu es conducteur de vélo-taxi ?

C’était pendant la fête du vélo qui se tient à Wazemmes (quartier de Lille), l’après-midi, j’ai pris à mon bord une étudiante en journalisme pour une interview. Avec nous, il y avait Romain le responsable des conducteurs de vélo-taxis. Elle nous a posé des questions à tous les 2, pendant une balade en vélo-taxi. C’était atypique et vraiment sympa comme moment !

Corentin et tous les autres conducteurs de vélo-taxis sont à votre disposition pour vous déplacer en ville, alors n’hésitez pas à vous renseigner sur www.cycloville.com

lundi 28 février 2011

Les OGM et l’Europe


Les Organismes Génétiquement Modifiés ont fait leur apparition dans les années 80. C’est dès 1986 que la France lance des recherches sur les conséquences de la dissémination de ces organismes. Les scientifiques donnent aux plants génétiquement modifiés la capacité de résister à certaines maladies, insectes…

Le débat a été rapidement lancé dans toute l’Europe pour savoir s’il fallait ou non autoriser la commercialisation et la culture d’OGM. On se souviendra en France des arrachages de champs de maïs génétiquement modifiés par José Bové et les Faucheurs Volontaires d’OGM. Encore aujourd’hui, le débat n’est pas clos. 61 % des Européens semble se positionner contre les OGM, alors que le continent américain y est plutôt favorable.

Les problèmes posés sont :

  • La non-connaissance des conséquences sur le long terme de la consommation d’OGM
  • Le rachat par les agriculteurs des graines brevetées OGM coûteuses, chaque année.
  • La résistance accrue des insectes et des mauvaises herbes à ces modifications génétiques.

Mardi 22 février 2011, les représentants des états membres de l’Union Européenne ont validé la proposition d’augmenter le taux d’OGM autorisé dans les aliments importés destinés aux animaux d’élevage. Cette augmentation minime (passant d’une tolérance 0 à 0,1%) répond à des problèmes commerciaux et d’approvisionnement. En effet, les lots d’aliments contenant des traces d’OGM étaient systématiquement renvoyés dans le pays d’origine. Cette augmentation du seuil de tolérance relève plutôt du zéro technique, la contamination de ces lots étant souvent non intentionnelle.

Au sein de l’Union Européenne, 7 états se sont opposés à cette mesure (Chypre, Grèce, Lettonie, Lituanie, Malte, Pologne et Slovénie), 19 pays l’ont validée et le Luxembourg s’est abstenu de prendre position.

Cette mesure satisfait les pro-OGM dans le sens où ils y voient une première étape vers un assouplissement des mesures Européenne contre les OGM. Les anti-OGM, quant à eux, sont inquiets pour les mêmes raisons, car la tolérance zéro préservait jusqu’ici le marché Européen qui figurait parmi les derniers bastions réticents aux OGM dans le monde.

Les OGM en quelques chiffres :

  • En 2009, 26 % du Maïs, 77 % du Soja et 49 % du coton, produit dans le monde, sont issus de plants génétiquement modifiés.
  • En 2010, 15,4 millions d’agriculteurs ont planté des OGM.
  • Monsanto détient 90 % du marché des OGM.
  • 80 % des animaux d‘élevage consomment des OGM.
  • La production d’OGM en Europe a baissé de 23 % entre 2008 et 2010 (conséquence de l’opposition des populations, des interdictions et limitations).

N’oubliez pas Cycloville pour vos déplacements urbains écologique : www.cycloville.com

jeudi 24 février 2011

L’aéroport écolo du Grand Ouest

C’est à partir de 2017 que devrait être mis en service le nouvel aéroport du Grand Ouest. Aux abords de la ville de Nantes, plus précisément sur la commune de Notre Dame des Landes, il anticipe l’engorgement du 2ème aéroport le plus importante de la région Ouest : Nantes-Atlantique.


Vinci a été choisi pour construire ce tout nouvel aéroport répondant aux principes de haute qualité environnementale. En effet 278 hectares, sur les 1220 de concession aéroportuaire, seront uniquement consacrés aux mesures environnementales.


L’objectif d’un bilan énergétique positif pourra être atteint grâce à des bâtiments basses consommations, un grand parc de panneaux voltaïques et une chaufferie au bois. L’aéroport du Grand Ouest sera doté de 2 pistes, elles permettront de diminuer le temps de roulage des avions, ainsi de réduire la consommation de carburants et donc de limiter les émissions de CO2.


On peut souligner la volonté de créer une structure plus propre, surtout lorsqu’on sait que l’avion est le mode de transport le plus polluant. Malgré toutes ces mesures afin de laisser une empreinte neutre sur l’environnement, de nombreuses associations et groupements s’opposent au projet.

Parmi elles, l’ACIPA (Association Citoyenne Intercommunale des Populations), la LPO (Ligue de Protection des Oiseaux) et la Fondation Nicolas Hulot pour la nature et l’homme s’indignent de voir tout un éco-système détruit par ce projet (150 mares et de nombreuses espèces animales en danger).


Voici quelques témoignages sur le sujet :

http://ecomobilite.tv/forums/topic/aeroport-ecolo-grand-ouest


Ce projet qui se veut écologique répond certes à des normes environnementales strictes et les objectifs fixés sont prometteurs, mais les conséquences sur la zone d’implantation de l’aéroport semblent êtres clairement néfastes. Ce projet unique en France est à la fois porteur d’avenir pour une structure d’accueil aussi importante, mais il montre également comment, au nom du progrès, des zones naturelles sont saccagées par la main de l’homme.


Pour vous déplacer en ville de manière écologique et sans impacter l’environnement ayez le réflexe Cycloville, pour plus de renseignements : www.cycloville.com

mardi 22 février 2011

Le transport écologique


  1. Pour aller au travail, partir en week end : pensez co-voiturage

Après des débuts poussifs le co-voiturage commence à se propager et aujourd’hui le phénomène du co-voiturage s’étend de plus en plus et internet voit fleurir de nombreux sites spécialisés sur ce sujet :

www.covoiturage.fr

www.123envoiture.com

www.covoiturage.com

En choisissant de partager une voiture, non seulement on limite l’émission de gaz à effet de serre, mais c’est également un moment de rencontre qui peut s’avérer enrichissant et sympathique tout en permettant de partager le coût du trajet.


  1. Pour les trajets réguliers et/ou longs, départs et retours de vacances : les transports en commun et le train :

L’avion et la voiture reste le mode de transport le plus polluant, la voiture transporte peu de personnes et reste polluante la plupart du temps.

Le train quant à lui, permet le transport de masse et pollue moins.

Équivalences train – bus – voiture :


  1. Pour vous déplacer au cœur des villes : vélo libre-service et vélo-taxis

Les vélos en libre-service sont proposés aux usagers par abonnements : longues ou courtes durées. Ils sont disposés à des bornes dans les centre-villes et les utilisateurs peuvent les emprunter puis les redisposer à une borne différente, selon leurs trajets.

Ce phénomène, initié en France par la ville de La Rochelle en 1974, se développe aujourd’hui fortement. Lyon, Paris, Marseille sont autant de grandes villes ayant adopté le procédé.


Paris : www.velib.paris.fr

Lyon : www.velov.grandlyon.com

Marseille : www.levelo-mpm.fr


Les vélo-taxis sont des tricycles à moteur, conduits par des chauffeurs dédiés, permettant le transport de personnes en ville. Les vélo-taxis sont d’abord apparus en France dans les grandes villes comme Paris, Lyon et Lille. Le modèle s’est aujourd’hui largement étendu et plusieurs entreprises proposent ce service.


La plus connue d’entre elles :

Cycloville : www.cycloville.com


D’autres entreprises :

Cyclopolitain : http://lyon.cyclopolitain.com

Citycab66 : www.citycab66.com

Ecopousse : www.ecopouss.com


  1. Pour calculer l’empreinte que vous laissez en vous déplaçant :


Si vous vous demandez si vous êtes dans une bonne logique de déplacements, plusieurs outils permettent de répondre à vos questions :

Empreinte écologique

Calculateur particuliers emissions CO2

Le calculateur des émissions de gaz à effet de serre

Vélo-taxi Cycloville : parole de conducteur


Aujourd’hui, Remy 28 ans nous parle de son métier de conducteur de vélo-taxi chez Cycloville :


Depuis combien de temps est ce que tu travailles chez Cycloville en tant que conducteur de vélo-taxi ?

La date précise je ne m’en souviens pas exactement, mais je sais que c’était début septembre 2010.


As-tu une activité annexe à celle de conducteur de vélo-taxi ? Étude ? Travail ?

Et bien, je suis en pleine création d’entreprise en ce moment. C’est pour de la vente en ligne de ebook. Donc rien à voir avec les vélo-taxis.


Qu’est ce qui t’as amené à travailler dans le monde du vélo-taxi ?

J’y suis venu un peu par hasard, un ami m’a parlé de Cycloville. Ensuite j’ai rencontré Romain le responsable des conducteurs de vélo-taxis. Le courant est tout de suite passé. Ça m’a d’autant plus donné envie de rejoindre l’équipe Cycloville.


Quels bénéfices tu en retires aujourd’hui ? / Qu’est ce qui t’attire dans ce monde ?

Il y a plusieurs choses, d’abord c’est vrai que le côté sportif est plutôt sympa, ensuite il y a le relationnel et le contact avec les gens qui est une part importante du job de conducteur de vélo-taxi. Et puis ça m’a aussi permis de mieux découvrir Lille. Je suis devenu incollable sur la ville !


As-tu une anecdote, un moment fort, à raconter, arrivé depuis que tu es conducteur de vélo-taxi ?

J’ai pas d’anecdote qui me vient en tête comme ça, mais si je devais parler d’un moment que j’aime particulièrement, c’est quand on fait des convois. On fait ça quand on a des groupes de touristes qui veulent faire la visite de la ville tous ensemble, ou des comités d’entreprise. On prend quelques vélo-taxis et on part tous ensemble. Les gens sont encore plus interpellés en nous voyant tous rouler en ville en convois !



Remy et tous les autres conducteurs de vélo-taxis sont à votre disposition pour vous déplacer en ville, alors n’hésitez pas à vous renseigner sur www.cycloville.com

jeudi 17 février 2011

La campagne choc de l’association FNE

France Nature et Environnement est un mouvement citoyen qui regroupe 3000 associations de protection de la nature et de l’environnement, elle est représentée par son président Bruno Genty. Cette association a été créée en 1968 et reconnue d’autorité publique en 1976. La clé de voûte de cette organisation repose sur ses bénévoles qui portent les revendications du mouvement.


Ce début d’année 2011 a été marqué par le lancement controversé de leur campagne d’affichage. Composée de 6 visuels différents, elle a attiré les foudres du ministre de l’agriculture, de la région Bretagne, mais également des fédérations bovines et porcines. Malgré la plainte de ces 3 derniers, le Tribunal de Grande Instance de Paris n’a pas donné suite, en évoquant la liberté d’expression et en affirmant l’intérêt général pour l’environnement de ces campagnes.


La RATP a par ailleurs refusé d’afficher 3 de ces visuels dans les stations de métro Odéon, Montparnasse et St Lazare, en raison du manque de neutralité des affiches proposées et de l’agressivité dont elles font preuves. La FNE s’en indigne et demande que l’affichage prévu, du 15 au 21 février soit mis en place la plus rapidement possible.

Les thèmes abordés concernent les pesticides, le nourrissage des animaux d’élevage aux OGM et la concentration des élevages. Cette campagne, à destination du grand public, avait pour objectif de lancer le débat sur ces problématiques agricoles en France.

Aujourd’hui le débat est lancé mais d’avantage sur le ton de la campagne d’affichage choisie par la FNE que sur les problèmes de fond qu’elle aurait voulu soulever.


Les 6 visuels concernés :


Pour plus de renseignements : www.fne.asso.fr


Déplacez vous au vert et n’hésitez pas à faire appel aux services Cycloville, pour plus de renseignements : www.cycloville.com

Un salon pour une Planète Durable


Le salon Planète Durable 2011 est à l’attention du grand public afin de le sensibiliser aux enjeux de l’écologie, de la durabilité dans la vie de tous les jours.

Lors de ce salon, on retrouve des exposants de tous horizons : banques, Fondations, Associations, entreprises d’énergie, de l’habitat…

Le Salon est plutôt bien apprécié du public, avec près de 30 000 visiteurs pour sa 3e édition, il attire également les politiques (Jean-Louis Borloo, Michel Barnier, Chantal Jouanno…) et des personnalités du monde de l’écologie (Yann Arthus Bertrand, Paul Watson…).

Le salon grandit d’année en année et devient de plus en plus reconnut. Son bilan carbone a aussi grandi, alors Planète Durable avait pris des dispositions en 2010, afin de limiter son impact écologique, parmi ces mesures :

  • Utilisation de 2800 m2 de moquette recyclable, elle a été transformée en granulat de plastique une fois le salon terminé.
  • Stand VIP avec des matériaux bien choisis afin de limiter leur impact sur le bilan carbone du salon (toiles tendues, cloisons en carton mélangé…)
  • Une restauration Bio était proposée aux visiteurs
  • Une halte-garderie gratuite éco-conçue était à disposition des parents

Le salon se tient pour sa 4ème édition à Paris Porte de Versailles du jeudi 31 Mars au dimanche 3 Avril de 10h à 19h.


Les billets :

- 7€ tarif normal

- 4 € étudiants, retraités, invalides, chômeurs

Le salon sera gratuit vendredi 1er Avril pour les étudiants et scolaires


Pour plus d’informations :

www.planete-durable.com


Une planète propre passe par un déplacement propre, alors n’hésitez pas à faire appel aux services de Cycloville, pour plus de renseignements : www.cycloville.com

mardi 15 février 2011

Vélo-taxi Cycloville : parole de conducteur


Aujourd’hui, Samuel 24 ans nous parle de son métier de conducteur de vélo-taxi chez Cycloville :


Depuis combien de temps est ce que tu travailles chez Cycloville en tant que conducteur de vélo-taxi ?

J’ai commencé en Juillet 2010, donc ça fait 8 mois que je travaille pour Cycloville.


As-tu une activité annexe à celle de conducteur de vélo-taxi ? Étude ? Travail ?

Je donne des cours de français, d’histoire, de mathématiques, à des jeunes de niveau collège. À côté, je prépare aussi le CAPES en sciences économiques et sociales.


Qu’est ce qui t’as amené à travailler dans le monde du vélo-taxi ?

J’ai un ami qui travaillait comme conducteur de vélo-taxi, en même temps je cherchais un job pour l’été. J’ai voulu essayer.


Quels bénéfices tu en retires aujourd’hui ? / Qu’est ce qui t’attire dans ce monde ?

Ce que j’aime dans ce travail c’est le côté social, on rencontre des gens variés.

Le fait d’être auto-entrepreneur aussi me plaît, c’est pour moi une véritable liberté dans le travail.

Sinon c’est un job, où l’on est toujours en mouvement, c’est sportif. J’ai gagné en endurance et je sens que j’ai plus la pêche le matin en me levant.


As-tu une anecdote, un moment fort à raconter arrivé depuis que tu es conducteur de vélo-taxi ?

C’était lors d’une course très particulière, où j’ai dû ramener chez elle une personne non-voyante et en état d’ébriété avancée. C’était une course très folklorique, qui s’est finalement parfaitement déroulée.


Samuel et tous les autres conducteurs de vélo-taxis sont à votre disposition pour vous déplacer en ville, alors n’hésitez pas à vous renseigner sur www.cycloville.com

vendredi 11 février 2011

La recherche sur les biocarburants avance !



Les biocarburants sont une nouvelle alternative aux carburants fossiles dont les réserves s’épuisent années après années. La fabrication du biocarburant se fait à partir de matériaux organiques non-fossiles. Rouler au biocarburant permet de limiter les gaz à effet de serre. A contrario depuis leur apparition nous avons, tous ou presque, entendu parler de l’impact nocif sur la planète de ces biocarburants : afin d’augmenter les surfaces agricoles, certains pratiquent la déforestation de masse. En conséquence, ils libèrent une importante quantité de gaz à effet de serre.

On sait également que les bio-carburants traditionnels prennent de plus en plus le pas sur les cultures nourricières de la planète. La rentabilité plus importante de la culture des huiles qui entrent dans la composition des biocarburants incitent à la transformation des cultures céréalières en culture de soja, d’huile de palme ou de canne à sucre.

L’Union Européenne croit encore aux biocarburants et demande à l’ensemble des états membres d’incorporer 5,75 % de biocarburants dans les carburants classiques. Cet objectif devra être atteint au 1er janvier 2012. Cette confiance en l’avenir nous incite à aller voir de plus près les innovations qu’offre le marché des biocarburants.

La réunion a pris une certaine avance sur ce terrain !

Une jeune entreprise, Bioalgostral, spécialisée dans la culture de micro-algues, a en effet proposé une alternative aux biocarburants traditionnels.

Pour cela, elle produit des algues en bassin et les nourrit des nutriments contenus dans les eaux usées des stations d’épuration. Une fois les algues récoltées, elles sont raffinées pour produire un biocarburant. La réunion est le lieu idéal pour cette culture, puisqu’elle offre un ensoleillement important et régulier toute l’année. Les micro-algues utilisées ont démontré une capacité énergétique et un rendement de production bien supérieur au colza, soja, huile de palme…

La réunion et Bioalgostral se placent donc en précurseurs de ce nouveau biocarburant, qui intéresse déjà de grands groupes industriels comme IVG GmbH (laboratoire allemand), PSA et EADS. En effet, ce dernier, avait collaboré avec IVG GmbH et Bioalgostral pour associer un carburant 100 % alogodiesel et un avion bimoteurs lors d’un vol à Berlin. Test réussi !

Cette 3e génération de bio-carburant, devrait prendre une dimension pré-industrielle (5 à 10 ha) dès cette année. L’algodiesel pourrait remplacer le carburant traditionnel sur toute l’île de la réunion d’ici 3 ans. Une bonne nouvelle quand on sait que La Réunion envisage une autonomie énergétique dès 2030.

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Gaz de schistes : Suspension temporaire



Les vives inquiétudes, contestations et polémiques autour de l’exploitation des gaz de schistes auront incité les ministres Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET et Eric BESSON à organiser une rencontre avec les groupes industriels Shuepbach Energy LLC, Total…

En conclusion de cette rencontre, jeudi 10 février, un communiqué du gouvernement a annoncé la suspension de tous les travaux de terrains liés aux gaz et pétroles de schistes pendant le temps de la mission d’évaluation des enjeux environnementaux.

Voici le communiqué du gouvernement :

"Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET et Eric BESSON ont réuni les industriels détenteurs de permis de recherche d’exploration de gaz ou d’huiles de schiste

Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET, ministre de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement et Eric BESSON, ministre auprès de la ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, chargé de l’Industrie, de l’Énergie et de l’Économie numérique ont réuni aujourd’hui les industriels détenteurs de permis de recherche* de gaz ou d’huiles de roche-mère, communément appelés gaz et huiles de schiste.

Ont participé à cette rencontre les représentants de :
- Schuepbach Energy LLC pour la recherche de gaz dans les départements de l’Ardèche, du Gard, de l’Hérault, de l’Aveyron et de la Lozère, et Total Gas Shale Europe pour les départements de l’Ardèche, de la Drôme, du Vaucluse, du Gard et de l’Hérault,
- Toreador Energy France associé à Hess Oil France pour la recherche d’huiles dans les départements de Seine-et-Marne, de l’Aisne, de l’Aube et de la Marne, et Vermilion Rep pour le département de Seine-et-Marne.
Gdf Suez était également représenté au titre de ses négociations avancées avec Schuepbach Energy LLC.
Les ministres ont pris connaissance de l’avancement des travaux d’exploration planifiés par les industriels :
- pour Schuepbach Energy LLC, deux forages en octobre 2011 mais qui demandent des préparatifs (juridiques, techniques, financiers…) dès le mois de mars,
- pour Total Gas Shale Europe un premier forage début 2012 mais qui demande des préparatifs dès septembre 2011,
- pour Toreador Energy France et Hess Oil France, le forage de trois puits verticaux, le premier dès le mois de mars 2011 sur le permis de Château-Thierry avec possibilité de test ultérieur de fracturation hydraulique, les travaux étant encadrés par trois arrêtés préfectoraux du 12 octobre 2010 ; le forage d’un puit vertical sur le permis de Mairy, le dossier d’ouverture des travaux étant à l’instruction depuis le 17 janvier 2011,
- pour Vermilion Rep, un test fin février 2011 de fracturation hydraulique sur trois puits existants des concessions de Donnemarie, Champotran et Chaunoy (hydrocarbures conventionnels), les travaux étant chacun encadrés par un arrêté préfectoral du 4 février 2009 ; un carottage par forage d’un nouveau puits sur la concession de Champotran, les travaux étant encadrés par le même arrêté ; un carottage par forage d’un nouveau puits vertical sur le permis de Saint-Just-en-Brie, le dossier d’ouverture des travaux étant à l’instruction depuis le 1er février 2011. Cette entreprise a par ailleurs une production inférieure à 10 m3 par jour d’huiles de roche-mère à partir de 2 puits en Seine-et-Marne ayant fait l’objet de test terminé de fracturation hydraulique.

Les ministres ont informé les industriels de la mission qu’ils ont confiée conjointement au Conseil Général de l’Industrie, de l’Énergie et des Technologies (CGIET) et au Conseil Général de l’Environnement et du Développement Durable (CGEDD) afin d’éclairer le gouvernement sur les enjeux économiques, sociaux et environnementaux des hydrocarbures de roche-mère (gaz et huiles de schiste). Un rapport d’étape doit être remis pour le 15 avril 2011 et le rapport final pour le 31 mai 2011. Les rapports seront rendus publics et les conclusions en seront tirées avant fin juin 2011.
Les participants ont examiné la compatibilité des calendriers industriels avec les travaux de la mission CGIET-CGEDD. Il a été décidé conjointement :
- pour Schuepbach Energy LLC et Total, de n’entreprendre aucun forage et plus généralement aucune opération technique de terrain avant que les conclusions du rapport de la mission CGIET-CGEDD ne soient tirées,
- pour Toreador Energy France et Hess Oil France, et Vermilion Rep, de différer le forage des puits après la remise du rapport d’étape et de n’entreprendre aucune fracturation hydraulique avant que les conclusions du rapport final de la mission précitée ne soient tirées.
Les ministres ont pris acte de l’intérêt des industriels pour une éventuelle prolongation de la durée des permis d’exploration afin de prendre en compte ces décisions.
Les industriels se sont également engagés :
- à pleinement coopérer avec la mission CGIET-CGEDD,
- à prolonger et à approfondir le dialogue avec les élus et la population en amont de leurs travaux sous des formes qu’ils préciseront prochainement.

Une réunion au même format sera organisée immédiatement après la remise du rapport d’étape et une autre après la remise du rapport final.

Eric BESSON a déclaré : « Je me réjouis de l’état d’esprit coopératif dont ont témoigné les industriels. Face à ce nouveau défi, nous nous posons de nouvelles questions et je suis confiant dans l’aptitude de la mission à identifier les réponses qui s’imposent. »
Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET a conclu : « Nous avons pu obtenir un consensus de l’ensemble des acteurs présents pour suspendre les travaux d’exploration des gaz de schiste et de fracturation hydraulique et pour mieux associer les élus et la population. »

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mercredi 9 février 2011

Les conducteurs de vélo-taxis sénégalais agressés !

Au Sénégal dans la ville de Kaolack, le 2 février dernier, un conducteur de vélo-taxi était agressé par l’un de ses clients. Il est encore aujourd’hui en réanimation. Loin d’être un cas isolé, l’affaire a commencé en 2010 où l’on a tiré un bilan de 10 morts des suites d’agressions.

On ne connaît pas vraiment aujourd’hui les causes de ces attaques, mais elles atteignent des sommets de barbaries : amputations, hommes tabassés au marteau ou encore poignardés. Les conducteurs de vélo taxis sont inquiets et déterminés à faire justice eux-mêmes. Bon nombre d’entre eux se sont réunis, dimanche 6 février, dans les rues de Kaolack pour alerter les autorités compétentes du traitement qui leur est infligé.

L’équipe Cycloville soutient les conducteurs de vélo taxis sénégalais dans leur combat pour se faire entendre et a une pensée pour les victimes de ces agressions.




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mardi 8 février 2011

Le salon du mariage d’Amiens W.I.P

Cycloville a une nouvelle fois accueilli à son bord l’une des plus belles femmes de France : la première dauphine de l’élection Miss France 2011, Jenna Sylvestre.

Notre vélo-taxi Cycloville se transforme également en décor idéal pour l’interview de Dominique Archen, co-organisateur du salon du mariage W.I.P, par Maxime Schneider, présentateur du gala Miss Picardie.

Lors du salon bon nombre de commerçants ont pu présenter leurs produits et services. C’est un bilan positif que tirent les organisateurs de cette première édition, qu’ils comptent semble-t-il renouveler l’année prochaine.

Pour plus de renseignements : www.wip-mariage.fr / www.cycloville.com




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