City Tour in Annecy

Move around easily in the city of Annecy

Josh talks us about his last travel in France:

Upon my arrival in France, I wanted to find an original way to discover the cities that my friends talked me about. I was looking for a mode of transport cheap, practical and ecological because I can’t walk too long.

The first city I visited was Annecy , in the south/east of France. The electric bicycle of Cycloville has enabled me to discover this wonderful city, the Annecy’s lake, which is really near from the city centre. Over there I discovered lots of activities in a such beautiful area surrounded by mountains (paddleboats, beaches,…).

I also heard that this company offers the same transport service in 12 French cities for all your moves or to visit the city centre with electric bicycles. The driver who knows perfectly the city will take care of you.

In Annecy I founded the moving solution adapted for my needs: www.cycloville.com

Prices:

Area 1 :

• 1€ of taken charge
• 1€/ km/ person.

Area 2 :

• 2€ of taken charge
• 1€/ km/ person.

Touristic tour:

• 20€ /hour
  

To reserve a bicycle and a driver in Annecy: +33 6 28 23 48 54

For more information: www.cycloville.com

www.lac-annecy.com

Le plus grand navire à énergie solaire est né

Le plus grand navire à énergie solaire du monde, le « PlanerSolar », a été inauguré hier, jeudi 25 février 2010, à Kiel (Nord de l’Allemagne). Les constructeurs ont affirmé vouloir faire le tour du monde en 2011, grâce au soleil.

Le navire mesure 30 mètres de long et 16 mètres de large. Il pèse 60 tonnes et est équipé de 500m2 de panneaux solaires photovoltaïques. Pour un coût de 18 millions d’euros, le « PlanerSolar » pourra atteindre une vitesse maximale de 15 nœuds (25km/h) et accueillir environ 50 personnes.  Il sera piloté, pour son tour du monde, par le Suisse, Raphaël Domjan, 36 ans, à l’origine du projet et par le navigateur français Gérard d’Aboville, 64 ans, qui a réalisé les traversées de l’Atlantique et du Pacifique à la rame. Les navigateurs ont prévu de traverser l’océan Atlantique, le canal de Panama, l’océan Pacifique et l’océan Indien, puis de passer par le canal de Suez pour rejoindre la mer Méditerranée tout en restant le plus près possible de l’Equateur pour bénéficier au maximum de l’ensoleillement. Le bateau sera mis à l’eau en mars pour faire ses premiers tests.

L’objectif de ce projet est de démontrer que l’utilisation de l’énergie solaire est aujourd’hui viable et qu’il serait envisageable que les bateaux de pêches utilisent l’énergie solaire le long de l’équateur.

Cycloville salue cette initiative écologique et innovante et souhaite à tout l’équipage un bon tour du monde !

La voiture du futur

Après l’apparition récente des voitures électriques, c’est au tour des voitures à air comprimé d’entrer sur le marché. La voiture à air comprimé est LA solution pour réduire la pollution automobile. Ce véhicule a été inventé par Guy Nègre, ingénieur français qui a fait carrière dans l’industrie pétrolière puis automobile. Il a notamment travaillé pour Renault et a conçu un moteur pour formule 1 en 1980.

La voiture à air comprimé fonctionne à l’air ambiant par pompage. Elle est munie d’un moteur propre qui utilise de l'air comprimé en guise de carburant. Elle va même jusqu’à rejeter un air plus pur que celui aspiré, après filtrage. L’approvisionnement en air comprimé se fait dans des stations services spécialisées, il dure 3 min et ne coûte que 2,50 euros pour une autonomie d’environ 200km. Ce type de véhicule peut atteindre une vitesse maximale de 110km/h.

Les études et mises au point de l’innovation ont nécessité 7 années de travail pour une équipe de 15 personnes ainsi que les dépôts de plus de 20 brevets.

MDI, Motor Developement International, est le nom de la société crée par Guy Nègre. La société a déjà vendu la licence du moteur à air comprimé au constructeur indien Tata Motors. Ce dernier a fabriqué plusieurs modèles de voitures équipées d’un moteur à air comprimé en 2009.

MDI a prévu de sortir trois modèles de voitures dotées de moteurs à air comprimé : la MiniCats, la CityCats et la OneCats.

Pour des renseignements complémentaires, rendez-vous sur le site de MDI : http://www.mdi.lu/

Découvrez un magazine 100% écolo !

Terra eco est la nouvelle formule du magazine « Terra economica », premier mensuel entièrement consacré au développement durable. Le mensuel est fondé par David Solon, Walter Bouvais et Gregory Fabre en Janvier 2004. En 2009, Terra eco compte plus de 10 000 abonnés, et fait travailler plus de 70 journalistes sur les 5 continents.

Terra eco traite de l’écologie, des enjeux de société et de l’économie. Il est publié en version papier (imprimé sur papier recyclé) et sur internet : www.terraeco.net. Le magazine est sorti en kiosque qu’en mars 2009, il était jusqu’alors diffusé uniquement sur abonnement.

http://www.terra-economica.info/Terra-eco-est-en-kiosque.html

Le mensuel est organisé par thème : climat, énergie, Green People, politique, nature, culture, etc.

On y retrouve des articles sur l’actualité, des dossiers complets, une boutique en ligne, des astuces éco mais aussi une rubrique « agir » regroupant des exemples d’actions à mener pour protéger l’environnement. Terra eco vous propose également de vous abonner à sa newsletter.

Toute l’équipe Cycloville vous invite à découvrir ce magazine éco responsable et vous souhaite une très bonne lecture !

www.cycloville.com  www.terraeco.net 

Et si vous passiez des vacances utiles?

Et si cette année vous vous engagiez pour la nature et l’environnement tout en passant des vacances inoubliables ?

La solution : l’écovolontariat. Ce concept apparu dans les années 90 consiste à participer bénévolement à la protection de l’environnement et des animaux tout en voyageant dans des endroits souvent inaccessibles aux touristes. Différentes associations spécialisées comme Cybelle Planète ou A Pas de Loup proposent des missions telles que travailler dans une ferme agroécologique au Costa Rica, s’occuper d’éléphants au Mali et au Burkina Faso, protéger des vautours fauves en Croatie ou encore s’occuper de phoques en Baie de Somme.

Certaines associations ne demandent aucune participation financière, d’autres font payer les « écovolontaires » mais les sommes sont généralement minimes.

Si vous êtes intéressé par ce genre d’expérience, renseignez vous auprès de Cybelle Planète : www.ecovolontaire.org ou A Pas de Loup : www.apasdeloup.org

Pour découvrir des témoignages rendez vous sur : www.eco-volontaire.com 

Ecolo, même au sports d'hiver c'est possible !

Il est bien connu que les sports d’hiver ont un impact non négligeable sur l’environnement : remodelage des pentes, forte consommation d’eau et d’énergie, importance du trafic automobile, remontées mécaniques…  Mais ce n’est pas une raison pour ne pas partir ! L’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) nous donne quelques conseils pour minimiser l’impact environnemental de vos vacances au ski.

Tout d’abord, il faut bien choisir sa station. Il existe des stations engagées dans la protection de l’environnement. En effet, 51 communes ont signé la Charte Nationale en faveur du développement durable dans les stations de montagne. Cette charte a été établie par l’ANMSM (l’Association Nationale des Maires de Stations de Montagne), l’Ademe et la fondation Mountain Riders.

Ensuite, il faut trouver l’hébergement. Il existe des établissements certifiés par l’écolabel européen (label écologique officiel qui certifie les produits respectueux de l’environnement dans les pays membres de l’Union Européenne) et d’autres certifiés par le label clef verte (certifié en France par la Fondation pour l’éducation et l’environnement).

Pour ce qui est du moyen de transport, l’Ademe recommande vivement d’opter pour le train. L’avion est le moyen de transport le plus polluant et la voiture peut devenir un moyen de transport très polluant lorsqu’il y a des embouteillages.

Cycloville vous souhaite de bonnes vacances respectueuses de l’environnement !

Pour plus de renseignement : www.cycloville.com

Et pourquoi pas une maison bioclimatique?

Une maison bioclimatique est une maison qui utilise le climat et l’environnement pour se procurer l’énergie dont elle a besoin. Construire une maison bioclimatique est aujourd’hui une des solutions proposées pour maîtriser sa consommation d’énergie (en utilisant les énergies renouvelables) ainsi que pour préserver l’environnement et limiter les émissions de CO2. Même si l’investissement de départ est plus conséquent que pour une maison classique, il permet de réduire ses factures et à long terme de faire des économies.

Comment ça marche ?

Le secret de la maison bioclimatique réside dans son orientation, les matériaux utilisés pour sa construction et l’isolation de celle-ci.

Tout d’abord, une maison bioclimatique doit être orientée plein sud pour pouvoir profiter au maximum des rayons du soleil. Le principe est simple : la maison doit emmagasiner le plus possible la lumière du soleil pendant le jour, la transformer en chaleur et la diffuser ensuite dans la maison. De grandes baies vitrées sont idéales car le verre capte la lumière et diffuse la chaleur en hiver. L’architecture intérieure doit permettre à la lumière de circuler naturellement.

Ensuite, il faut avoir recours au bois. Le bois retient la chaleur et purifie l’air en retenant le gaz carbonique et en ne rejetant que du « bon » oxygène.

Enfin, n’hésitez pas à planter des arbres dans le jardin et acheter des plantes ; la végétation rafraichit la maison et la protège contre un rayonnement solaire excessif en été.