Ces dance-floors nouvelle génération provoquent des foules de fêtards soucieux de respecter l’environnement.
Actuellement, on en compte une à Londres, la première du genre, mais aussi une à Rotterdam. Celui qui a imaginé ce concept novateur est un anglais, Andrew Charalambous. Le système consiste à convertir le mouvement des danseurs en électricité, grâce au concept de la piézoélétricité dans lequel des cristaux et de la céramique créent une charge pour générer de l’électricité. « Nous estimons que si nous avons des foules de clubbers qui dansent vigoureusement cela fournira 60% des besoins énergétiques du club » a indiqué l’ingénieur surnommé « Mr Terre ».
Encore plus prometteur, cette discothèque londonienne, baptisée Surya, pourrait à l’avenir fournir les besoins électriques de 14 à 20% des habitants locaux…c’est le prochain défi d’Andrew Charalambous, qui détiendra alors la première compagnie à fournir gratuitement de l’énergie dans le monde.
Un système de récupération de la transpiration pour alimenter les chasses d’eau est également à l’étude !
On espère que ces boîtes vertes vont se développer aux quatre coins de la planète. En attendant, il faudra se rendre en Angleterre ou au Pays Bas pour s’éclater sans dégrader l’environnement !
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