jeudi 30 juillet 2009

Cycloville fait sensation à Toulouse.


Cyril Marcerou a implanté Cycloville à Toulouse, il y a maintenant un an, et compte aujourd’hui beaucoup d’adeptes de ce nouveau type de transport écologique et agréable.

Pour cela, La Dépèche de Toulouse a décidé de vanter les mérites de Cycloville dans un article paru le 27 juillet 2009 et nous l’en remercions :

Laissez-vous conduire en cycloville!

Il y a un an, naissait le cycloville ou vélo taxi initié par Cyril Marcerou. Un drôle d'engin sur trois roues, mi-insecte, mi-œuf, aux couleurs bucoliques qui vous déplace sur des petites distances. Un an après, le bilan est plutôt satisfaisant : « De deux vélos, nous sommes passés à cinq, précise Loïc Cottens, employé à Cycloville. Et nous avons des projets pour la rentrée ». Le concept simple se résume en une formule de publicité utile faite par des annonceurs. En échange, le cyclo transporte les gens aux quatre coins de la ville : « Il suffit de passer un coup de fil pour donner le lieu du rendez-vous, reprend Loïc Cottens. Uniquement dans l'hypercentre sur des petites distances ». Pas question donc d'aller à l'aéroport de Blagnac. Mais vous pouvez demander à Cycloville de vous emmener par contre à une station de taxis : « Pour rallier les transports en commun, nous sommes le moyen idéal ». Cyclo pour tous À sa création l'an passé, un partenariat avait été passé avec la ville pour privilégier les seniors dès 60 ans à ce moyen de déplacement nouvelle génération : « En effet, une carte d'abonnement à 5 € avec deux trajets gratuits avait été lancée durant quatre mois, valables dans la zone de desserte du lundi au samedi, poursuit Loïc Cottens. Malgré un franc succès, l'opération n'a pas été renouvelée ». Aujourd'hui, le cyclo ville est pour tout le monde : depuis les enfants à accompagner à l'école, jusqu'aux mamans entre deux courses en passant par les mamies qui vont chez le coiffeur. Ce moyen pratique, écologique et rapide enchante un public divers : « Nous sommes huit chauffeurs avec une majorité de femmes. Elles sont apparemment plus résistantes pour pédaler, surtout en hiver », s'étonne Loïc Cottens. Si Toulouse s'ajoute à la liste déjà longue des cités gagnées par le virus du cycloville -Paris, Bordeaux, Pau, Strasbourg- pour n'en citer que quelques-unes, les grandes métropoles n'ont pas attendu. Puisque New York, Tel Aviv ou encore Dublin pédalent au cyclo depuis quelques années. Infos : 1 € de prise en charge et 1 € du kilomètre. Tél : 0561480635

Cycloville en profite pour remercier tous les médias qui ont publié de nombreux articles depuis l’ouverture de Cycloville.
Pour plus d’informations : www.cycloville.com

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